Ton prologue est génial =D N'y change absolument rien, tout s'emboite parfaitement, pas d'erreurs dans ton déroulement (ce qui peut arriver dans des prologues chronologiques comme le tien) et tu donnes très envie au lecteur (en tout cas, à moi tu me donnes envie de savoir xD)
Maintenant si tu permets, tu as corrigé de nombreuses fautes et c'est très bien, malgré ça si tu permets que je corrige les quelques unes qui reste...Mais tu as brillamment terminé ton prologue, tu n'as plus qu'à t'occuper du reste =D
Ah et avant que j'oublie..."la France (beau pays de mon enfance ()" tu me mets à chaque fois cette petite phrase entre parenthèse, je suppose donc que tu as l'intention de la mettre lorsque tu publieras...Mais je pense que cette phrase est de trop tout simplement parce que ton prologue est sombre, un poil dramatique et ne contient rien d'humoristique...Là tu gâcherais l'ambiance si tu laissais ta note d'humour
Après une troisième guerre mondiale sanglante et dévastatrice, la France est maintenant
gouvernée par une seule et unique personne, Paul Weber, un homme d’une quarantaine d’années au caractère limite paranoïaque.
Né(sans e à la fin, c'est un homme) dans une famille bourgeoise vivant a Paris, Paul Weber évolue dans un cadre qu’on pourrait qualifier d’idéal, des
parents (il en a 2) aimant et toujours présent, un bel appartement, doté d’une vue panoramique, un grand frère protecteur et pour
couronner le tout (la fameuse technique du "pour mordre le tout" donc -er
) des résultats excellent a l’école…pourtant rien n’a pu empêcher sa chute vers la démence et la domination absolue.
Dès ses 8 huit ans le jeune garçon commença à éprouver une certaine attirance vers la souffrance des autres. Menacer un camarade de classe avec des ciseaux pour lui faire manger du sable lui procurait un plaisir des plus intenses et c’est cette jouissance malsaine qui inquiéta Williams et Viviane Weber sur l'état mental de leur fils. Plusieurs
tests (pas de e à la fin de test, jamais, et un s puisqu’il en a fait plusieurs =)
furent (plusieurs tests donc verbe au pluriel) fait mais rien d’anormal
n’avait (« rien d’anormal » ici correspond au « il ») été détecté si ce
n’est (bon là je sais pas comment t’expliquer à part que c’est « être » et pas « avoir » ^^’) que la méchanceté
naturelle (méchanceté étant féminin, on accorde naturel au féminin aussi) du petit garçon. En grandissant il devenait de plus en plus solitaire. Il avait 16 ans quand il s’enfuit pour la première fois de chez lui.
Ses (ses raisons à lui, donc ses =) raisons restèrent inconnus, mais depuis
ce (ici c’est un adjectif démonstratif et non possessif) jour il récidivait voulant partir de sa
prison (une prison, pas de s
) comme il l’appelait. C’est au bout de sa 5ème
tentative (il a certes fait plusieurs tentatives, mais ici tu parle de la cinquième précisément donc singulier) que ses parents abandonnèrent et ne
se ( là par contre c’est un verbe pronominal, tu sais comme « laver » et « se laver », le se qui est placé ne s’écrit donc jamais « ce ») soucièrent plus de lui. Quelques années plus tard Paul était
devenu (tu peux mettre un e à la fin d’un verbe lorsqu’il possède un e dans sa terminaison...par évoluer, mais ici c’est devenir, donc pas de e) majeur et
faisait ( c’est il, donc t et pas s) partit de plusieurs
groupes fascistes tenus (on accorde avec plusieurs) secret. Son désir de supériorité ne cessait de s’accroître, tellement qu’il forma une ligue xénophobe qui semait la terreur dans les rues de Paris…Les exploits
insalubres de cette association furent
multiples …
Fusillades dans les quartiers chinois…De
grandes manifestations en l’honneur d’Hitler…De nombreuses
boutiques d’étranger
détruites …Chaque
apparition de cette association
ramenait (imparfait =D) des fidèles et
augmentait (re-imparfait =p) le pouvoir de Paul Weber qui dégustait sa victoire prochaine. Le gouvernement
devenait[u] de plus en plus impuissant face a cette montée en force inattendue, de nombreux policier prirent peur et rejoignirent le mouvement raciste de ce dictateur des temps modernes. Les projets de ce [u]parti (ici c’est le nom « parti », parti politique, qui ne prend pas de t mais s’accorde lorsqu’il le faut ) maintenant composé de 5000 membres arrivèrent
à (ici ce n’est pas le verbe avoir, tu sais la méthode « arrivèrent avait son apogée », ne se dit pas donc « à »)
leur (ton sujet est au pluriel, donc leur, mais comme ton COD est singulier, pas de s à leur) apogée lors du coup d’état de 2018...Le président Bourbier un homme remarquable fut assassiné sauvagement avec plusieurs de ses partisans ce qui
laissa (pas d’imparfait ici, c’est plus « joli » pour la concordance des temps) le
champs libre (champs, comme temps, prend toujours un s, par contre pas de s pour libre puisque champs est au singulier) au deuxième plus grand autocrate de
tous (me demande pas d’expliquer tout et tous, j’ai mis des années à comprendre xD) les temps, Paul Weber. Cette année marqua le début de cette politique restrictive, totalitaire et destructrice. Aujourd’hui tout ceci est encore actif pour le plus grand malheur de cette population
endoctrinée, catéchisée et le plus horrible de tous apeurée (tu accorde avec le féminin qu’est population car l’auxiliaire être est sous entendu ici) par une loi qui leur pose une épée de Damoclès sur la tête…