Cours de Fraizy [ Hell.ena / Naya-Happiness ]

Je comprends je comprends, ne t'inquiète pas, j'ai pas mal de difficulté à écrire des trucs biens en ce moment ^^ Prends le temps qu'il te faut, l'important c'est que tu aies envie de le faire =)

Ok mais j'espère que tu n'est pas trop déçu par ce que je fais...Bisous

Tiens j'ai eu l'idée de te faire partagé les personnages que j'ai fais en sims
Pour l'instant j'ais fais que dawn la soeur a Lewis





Lol fait pas attention a la pose j'étais entrain de les tester xD

Voila Jade la coiffure est provisoir mais euh je crois que je vais la refaire quand même on véra xD



Sa meilleur amis que j'ai décidé d'appeler Rebecca (<3)



Un autre persos qui est une prostitué dans mon histoire j'espère que son visage retranscrit bien ce qu'elle est xD

Effectivement pour la meilleure amie va falloir retoucher le bas du visage x) Même si je pense que ça peut lui donner du caractère (malheureusement les gens sont assez cons, quand les perso' sont moches ils lisent pas, comme si dans la vraie vie les gens étaient tous beaux...tsss lol)
Et puis tant que je te tiens (par la barbichette *sors*) je te donne le lien de mon forum qui vient d'ouvrir et donc je n'ai pas encore commencé la pub, si ça t'intéresse tu t'inscris mais y'a pas d'obligation =)
http://freaky-graph.forumactif.org

Alors moi j'aime beaucoup les forum mais si cest un forum de graphisme euh désolé mais je suis ARCHI NUL en montage et truc du genre xD ! Donc euh je sais pas trop je vais servir a rien xD !

justement, va lire l'intitulé

Coucou je viens te voir toute fière car j'ai retravaillé mon prologue dans le domaine de l'orthograhe et j'ai corrigé mon chapitre un. Je te laisse voir sa

Après une troisième guerre mondiale sanglante et dévastatrice, la France est maintenant gouverné par une seule et unique personne, Paul Weber, un homme d'une quarantaine d'années au caractère limite paranoïaque. Née dans une famille bourgeoise vivant à Paris, Paul Weber évolue dans un cadre qu'on pourrait qualifier d'idéal, des parents aimant et toujours présent, un bel appartement, doté d'une vue panoramique, un grand-frère protecteur et pour couronner le tout des résultats excellents à l'école...pourtant rien n'a pu empêcher sa chute vers la démence et la domination absolue. Dès ses huit ans le jeune garçon commença à éprouver une certaine attirance vers la souffrance des autres. Menacer un camarade de classe avec des ciseaux pour lui faire manger du sable lui procurait un plaisir des plus intenses et c'était cette jouissance malsaine qui inquiéta Williams et Viviane Weber sur l'état mental de leur fils. Plusieurs testes fut fait mais rien d'anormal n'avais été détecté si ce n'aie que la méchanceté naturelle du petit garçon. En grandissant il devenait de plus en plus solitaire. Il avait 16 ans quand il s'enfuit pour la première fois de chez lui. Ces raisons restèrent inconnus, mais depuis ce jour il récidivait voulant partir à tout prix du cocon familial qui était devenu pour lui une prison. C'est au bout de sa cinquième tentative que ses parents préférèrent abandonnés, culpabilisant de n'avoir pas sue élevé correctement leur fils qui pourtant était promis à un grand avenir. Quelques années plus tard Paul était devenue majeur et faisait partie de plusieurs groupes fascistes tenues secret. Son désir de supériorité ne cessait de s'accroître, tellement qu'il forma une ligue xénophobe qui semait la terreur dans les rues de Paris... Les exploits insalubre de cette association furent multiple...Fusillade dans les quartiers chinois...De grandes manifestations en l'honneur d'Hitler...De nombreuses boutiques étrangères. Détruite...Chaque apparaissions de cette union ramenée des fidèles et augmenté le pouvoir de Paul Weber qui dégustait sa victoire prochaine. Le gouvernement devenaient de plus en plus impuissant face à cette montée en force inattendue, de nombreux policiers prirent peur et rejoignirent le mouvement raciste de ce nouveau dictateur des temps modernes. Les projets de ce parti maintenant composé de 5000 membres arrivèrent à son apogée lors du coup-d'état de 2018... Le président Bourbier un homme remarquable fut assassiné sauvagement avec plusieurs de ses partisans ce qui laissait le champ libres au deuxième plus grand autocrate de tous les temps, Paul Weber. Cette année marqua le début de cette politique restrictive, totalitaire et destructrice. Aujourd'hui encore cette politique est toujours active pour le plus grand malheur de cette population endoctriné, catéchisé et le plus horrible de tous apeuré par une loi qui leur pose une épée de Damoclès sur la tête...

chapitre 1 début et presque fin

« Bonjour chers auditeurs et chères auditrices vous êtes en directe avec nous sur RFM, j'espère... »Le présentateur ne pu finir sa phrase, interrompu par ma main qui venait d'éteindre le radio-réveille. Malheureusement pour moi cela signifiais que je devais me lever et débuté encore et toujours cette même routine. D'un pas lasse je me dirigeais vers ma cuisine qui n'était pas plus grande qu'une gazinière accompagnée d'un minuscule plan de travail, pour mettre la cafetière en route. Une fois mon café près je le bue d'une seule traite tout en espérant que mon esprit embrumé par l'heure matinal allait ce réveillé...En passant devant le cagibi qui nous servait de salle de bain et de toilette à mon voisin et moi, je pris le temps de m'asperger le visage avec de l'eau qui avait une couleur plus que douteuse et me regardais sur le morceau de verre qui fessait office de miroir. Mes yeux bleus m'examinaient sous toutes les coutures. J'avais les cheveux mi-long de couleurs noires, une balafre sur le coin gauche étaient gercées par le froid et mon corps plutôt maigre, habillé d'un simple t-shirt blanc crasseux suivi d'un jogging troué frissonnait à cause du vent glacial qui provenait de la fenêtre. Cela faisait deux ans que je vivais dans ce taudis aménagé, mais je ne m'en plaignais pas, dans cet endroit dès plus sordide j'avais mes habitudes comparables à un petit vieux de 70 ans. D'ailleurs mon radio-réveille affichait maintenant 7h30, je devais me préparer pour aller au boulot, en deux en trois mouvements j'avais enfilé un jean informe et un pull mangé par les mites. Je bossais dans une supérette assez sommaire associé à mon meilleur ami Félix, c'était une des rares personne qui avait l'air un peu près normale, sans compter le fait que c'était un toxicomane endurci, un fou dangereux lors de soirée un peu trop arrosé et un coureur de jupon comme on en fait plus actuellement, mais il faut avouer que comme pote fidèle et sincère on ne trouve pas mieux bien sur quand il est dans ces moments de sobriété absolue. Je sortais de chez moi sans oublier de fermer à clés et m'engouffrais dans les rues sombres de la banlieue de Paris. Mon immeuble se trouvait juste en face d'un bar boite de nuit qui portait le nom miteux de « Diams » ce qui faisait un paradoxe entre l'appellation et l'endroit qui était très loin de briller comme un diamant. Rien que la façade nous le prouvait, les murs tagués de partout, les ordures qui s'entassaient à côté de l'entrée et les femmes qui se montraient aguicheuses pour vendre leur charme au plus offrant, posté devant le luminaire qui indiquait « boite de nuit ». Notre supérette était établie un peu plus loin après une vieille quincaillerie aux vitres cassé et l'intérieur dérobés... Mon dieux que c'est rassurant ! Arrivé à l'entrée de celle-ci j'apercevais Félix en train de sauter dans tous les recoins du magasin, il avait un tempérament assez excité comparée à moi qui était plutôt calme. Je lui lançais de vive voix « Hey Félix qu'es que tu as à sauter partout ? Même après un an et demi je n'arrive pas à m'y faire ! », L'intéresser ce retourna, il avait plus de cerne que d'habitude je trouvais cela étrange, mais je n'en dis mot et me répondis gaiment « Laisse tomber Wis' et viens faire l'inventaire avec moi ». Je rentrais plus profondément dans le magasin afin de m'exécuter lorsque Félix ce posta devant moi ! Je lui jetais un regard soucieux. Ses yeux verts pétillaient, ses cheveux d'un blond platine était bizarrement propre et son haleine ne sentait pas cette habituelle odeur d'alcool je compris tout de suite ce que cela pouvait dire, Félix avait une nouvelle conquête et était pressé de me faire part de chaque détails ! Chaque fois qu'une jeune femme se faisait piégé par ce don juan, c'était pareil il couchait avec celle-ci, profitait de ce qu'elle pouvait lui offrir et repartait vagabonder. Je vous l'accorde ce n'est pas la culpabilité qui l'étouffe, mais il faut savoir tout ce qu'il a traversé pour le juger même moi j'en connais juste une partie et ça me suffit pour me dire que c'est un chic type ! Je restais planter là à attendre que mon ami m'annonce la bonne nouvelle du moment ce qu'il fit sans plus tarder après quelques minutes de suspens.
- Hey Wis tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé ! »
Avant qu'il puisse reprendre je lui coupais la parole pour lui rétorquer
-Hoo si, je sais, tu as encore trouvé une nouvelle demoiselle innocente a berné avec ta bouille d'ange
Mon ami me jeta un regard noir et riposta d'un ton faussement vexé
- Je vois que tu as une piètre opinion de moi »
Il marqua une pause et reprit
-Mais tu as raison elle s'appelle Dawn et je peux te jurer que celle la c'est la meilleure que j'ai pu choper. Ho la la tu ne peux pas savoir la nuit torride que j'ai pu passer ! »

Dawn...Ce prénom résonnait inlassablement dans mes oreilles et réveilla en moi de nombreux souvenir plus que douloureux ! Depuis mon arrivée içi je m'étais interdi d'y penser ! (j'ai enlevé le dialiogue car je ne l'aimais pas dutout donc sa c'est la nouvelle partie que je suis entrain de faire pour remplacer le dialogue)

Il était 19h30 au moment où je sortais du « coin miam ». Enfin, je quittais les multiples cartons remplis de nourriture en tout genre, les caisses garni de babioles en plastique et les cagots contenant quelque substance illicites, car oui notre petit commerce représente le point de rendez-vous de tous les dealers du quartier. D'un pas lasse, je me dirigeais vers le ciber café le plus proches. Celui qui se tenait devant moi à cet instant portait le nom de « Clubby», drôle de mot pour définir ce genre d'endroit mais bon je m'attardais pas plus longtemps et rentrais dans la salle ou (je n'arrive pas à faire les accents) plusieurs accrocs du net prenaient leur dose quotidienne de tchat, mail, site et autres moyens d'évasion que procurait internet. Je

Voila voila j'espère que tu seras contente xD

Alors déjà bravo pour l'orthographe, il en reste quelques unes mais c'est déjà un travail énorme et très bien fait =3
Ensuite pour l'écriture de ton chapitre 1, c'est bien mieux, le rythme est meilleur, le lecteur se laisse plus entrainer dans ton histoire. Alors ouiiii je suis contente mdr
Par contre n'oublie pas lorsque tu écris de garder un "ton" pour ton perso...Je m'explique lol Ton personnage a un caractère propre (là c'est utile la fiche perso mdr) donc lorsque tu écris essaye de respecter ça. Je ne vais pas dire que tu me fais un perso triste qui devient joyeux deux minutes plus tard, là c'est plus du perfectionnisme et de la subtilité. En gros, un détail ! Mais je sais que tu es capable d'écrire des merveilles alors je me permet d'être exigente =p
En tout cas un grand bravo pour le travail que tu as fourni !

bon je te l'avoue je suis aller sur Bonpatron et enfaite les fautes qui me reste eh bien c'est celle que j'ai pas réussi à corriger ! Sinon je comprend pas trop ce que tu veux dire par ton tu peux m'expliquer un peu plus xD

Alors...je vais t'expliquer en exemple ça sera plus simple

Prenons un personnage disons mélancolique, un peu à fleur de peau, le genre écorché vif qui se mutile (pour faire simple mdr)
Il va souvent parler de manière calme, par exemple pour décrire un paysage il va utiliser des termes poétiques et un peu triste, à l'inverse de quelqu'un toujours de bonne humeur...

Exemple mon perso mélancolique : " Le paysage s'était teinté d'une couleur sang, alimentant les ombres fantomatiques des arbres d'une somptueuse couleur pourpre. Le vent faisait frissonner les herbes sous mes doigts et je sentis en moi les émotions tourbillonner."
La même description mais avec un perso' joyeux : "Le soleil d'un rouge éclatant crayonnait les alentours d'une teinte vive et chaude. Les arbres projetaient sur le sol des ombres majestueuses aux milles couleurs chatoyantes. Sous mes doigts je sentais frémir les herbes hautes, me rappelant avec joie les balades en forêt de mon enfance."

Si j'ai pas trop mal écrit tu devrais sentir la différence. Et c'est ce que je voudrais ressentir chez toi (mais encore une fois, ce n'est que du perfectionnisme, limite oublie ça et continue de te concentrer sur tes textes =3)

oui j'ai compris merci tu écris vraiment trés bien ! Donc oui enfaite le problème c'est que mon personnage n'est ni joyeux ni triste il est disons sans teinte. Je m'explique enfaite depuis deux ans il ne fait plus voir ses émotions il est pluto calme jamais triste ni joyeux même presque lasse mais satisfait de sa vie en gros il vit avec ce qu'il a et il s'en contente ! Moi j'aimerais pouvoir faire de cette histoire un truc qui hausse le "oui c'est bien" donc ces détails sont important pour moi ! Help me xD (non je rigole)

Dans ce cas il faut que tu écrives toujours dans le même registre neutre, c'est à dire qu'il ne s'émerveille de rien, qu'il ne ressent rien même par rapport à ses amis...j'avais bien senti que tu voulais créer ce personnage comme ça (et franchement c'est carrément bien parce que c'est très difficile à faire passer, surtout une émotion neutre ^^), approfondis maintenant un peu plus ce que tu souhaites rendre =)

Tu as une méthode particuliere pour approfondire tes texte ?
Tu pense que je devrais reprendre tout mon chapitre ?
Aussi j'avais fais lire ce prologue a plusieur personne et on ma di de changer le prénom du dictateur et son nom aussi car cette personne a vraiment existé je crois que c'es un peintre qui est mort et donc voila tu crois que je devrais changé ? que c'est dérangeant ? surtout que moi sa m'enbete un peu !

N'écoute jamais les autres pour ce qui est de choisir les prénoms de tes personnages, c'est une chose qui se fait au feeling...Tu as pris un nom déjà connu ? Et alors ? Sincèrement, le nom d'un personnage doit être un nom qui lui correspond, si tu juges que c'est le cas alors ne change rien =3 Personnellement rien ne me dérange dans ce nom, sauf si tu as une bonne raison de le changer, mais garde-le.
Ensuite pour approfondir tes textes sache déjà qu'on ne reprend un chapitre que lorsqu'il est terminé (pour te rassurer, j'avais écrit les 6 premiers chapitres de mon roman...avant de tout reprendre, même le scénario du début alors tu vois, tu as bien le temps mdr) Donc concentre-toi d'abord sur "Je finis mon chapitre". Lorsque ce sera fait, on en rediscutera toutes les deux =) Mais le premier jet d'une histoire est toujours imparfaite, si tu veux savoir je retouche sans cesse mon roman, je rajoute des détails, j'en enlève, je modifie un sentiment, une expression...Concentre-toi sur ton histoire, le reste viendra après. Mais je sais déjà que tu vas forcément, sans même t'en rendre compte, approfondir le texte qui va continuer celui que tu m'as envoyé, et tu te rendra compte de toi-même des différences, je suis pratiquement sûre même que tu sauras modifier seule ce qui n'ira plus

Coucou ! Enfin une bonne nouvelle j'ai terminé mon chapitre hé hé ! je te l'envoie. J'espère qu'il ya pas trop de fautes bisous ! Préssé de voir tes impressions et aussi je croise les doigts pour que tu ne sois pas deçu !

Chapitre 1

« Bonjour chers auditeurs et chères auditrices vous êtes en directe avec nous sur RFM, j'espère... »Le présentateur ne pu finir sa phrase, interrompu par ma main qui venait d'éteindre le radio-réveille. Malheureusement pour moi cela signifiais que je devais me lever et débuté encore et toujours cette même routine. D'un pas lasse je me dirigeais vers ma cuisine qui n'était pas plus grande qu'une gazinière accompagnée d'un minuscule plan de travail, pour mettre la cafetière en route. Une fois mon café près je le bue d'une seule traite tout en espérant que mon esprit embrumé par l'heure matinal allait ce réveillé...En passant devant le cagibi qui nous servait de salle de bain et de toilette à mon voisin et moi, je pris le temps de m'asperger le visage avec de l'eau qui avait une couleur plus que douteuse et me regardais sur le morceau de verre qui fessait office de miroir. Mes yeux bleus m'examinaient sous toutes les coutures. J'avais les cheveux mi-long de couleurs noires, mes lèvres fines traversées d' une balafre sur le coin gauche étaient gercées par le froid et mon corps plutôt maigre, habillé d'un simple t-shirt blanc crasseux suivi d'un jogging troué frissonnait à cause du vent glacial qui provenait de la fenêtre. Cela faisait deux ans que je vivais dans ce taudis aménagé, mais je ne m'en plaignais pas, dans cet endroit dès plus sordide j'avais mes habitudes comparables à un petit vieux de 70 ans. D'ailleurs mon radio-réveille affichait maintenant 7h30, je devais me préparer pour aller au boulot, en deux en trois mouvements j'avais enfilé un jean informe et un pull mangé par les mites. Je bossais dans une supérette assez sommaire associé à mon meilleur ami Félix, c'était une des rares personne qui avait l'air un peu près normale, sans compter le fait que c'était un toxicomane endurci, un fou dangereux lors de soirée un peu trop arrosé et un coureur de jupon comme on en fait plus actuellement, mais il faut avouer que comme pote fidèle et sincère on ne trouve pas mieux bien sur quand il est dans ces moments de sobriété absolue ce qui sois dit en passant extrêmement rare. Je sortais de chez moi sans oublier de fermer à clés et m'engouffrais dans les rues sombres de la banlieue de Paris. Mon immeuble se trouvait juste en face d'un bar boite de nuit qui portait le nom miteux de « Diams » ce qui faisait un paradoxe entre l'appellation et l'endroit qui était loin de briller comme un diamant. Rien que la façade nous le prouvait, les murs tagués de partout, les ordures qui s'entassaient à côté de l'entrée et les femmes qui se montraient aguicheuses pour vendre leur charme au plus offrant, posté devant le luminaire qui indiquait « boite de nuit ». Notre supérette était établie un peu plus loin après une vieille quincaillerie aux vitres cassé et l'intérieur dérobés... Mon dieux que c'est rassurant ! Arrivé à l'entrée de celle-ci j'apercevais Félix en train de sauter dans tous les recoins du magasin, il avait un tempérament assez excité comparée à moi qui était plutôt calme. Je lui lançais de vive voix « Hey Félix qu'es que tu as à sauter partout ? Même après un an et demi je n'arrive pas à m'y faire ! », L'intéresser ce retourna, il avait plus de cerne que d'habitude je trouvais cela étrange, mais je n'en dis mot et me répondis gaiment « Laisse tomber Wis' et viens faire l'inventaire avec moi ». Je rentrais plus profondément dans le magasin afin de m'exécuter lorsque Félix ce posta devant moi ! Je lui jetais un regard soucieux. Ses yeux verts pétillaient, ses cheveux d'un blond platine était bizarrement propre et son haleine ne sentait pas cette habituelle odeur d'alcool je compris tout de suite ce que cela pouvait dire, Félix avait une nouvelle conquête et était pressé de me faire part de chaque détails ! Chaque fois qu'une jeune femme se faisait piégé par ce don juan, c'était pareil il couchait avec celle-ci, profitait de ce qu'elle pouvait lui offrir et repartait vagabonder. Je vous l'accorde ce n'est pas la culpabilité qui l'étouffe, mais il faut savoir tout ce qu'il a traversé pour le juger même moi j'en connais juste une partie et ça me suffit pour me dire que c'est un chic type ! Je restais planter là à attendre que mon ami m'annonce la bonne nouvelle du moment ce qu'il fit sans plus tarder après quelques minutes de suspens.
- Hey Wis tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé ! »
Avant qu'il puisse reprendre je lui coupais la parole pour lui rétorquer d'un ton blasé
-Hoo si, je sais, tu as encore trouvé une nouvelle demoiselle innocente a berné avec ta bouille d'ange
Mon ami me jeta un regard noir et riposta d'un ton faussement vexé
- Je vois que tu as une piètre opinion de moi »
Il marqua une pause et reprit
-Mais tu as raison elle s'appelle Dawn et je peux te jurer que celle la c'est la meilleure que j'ai pu choper. Ho la la tu ne peux pas savoir la nuit torride que j'ai pu passer ! »
Dawn...Ce prénom résonnait inlassablement dans mon esprit et réveilla en moi des souvenir plus que douloureux..Ma sœur me criant de ne pas l'abandonner de ne pas la laisser seule au milieux de ces bois, et moi qui sans même me retourner me dirigeais, dans un monde sois disant meilleur...J'effaçais rapidement cette image de mes pensée et repris ce masque d'impassibilité qui me caractérisait tant. Au premier aperçu Félix n'avais pas remarquer mon moment d'absence et continuais son long monologue au sujet de sa soirée. J'opinais de la tète pour montrer un quelconque intérêt et fini par dire
- Bon Félix on doit faire l'inventaire !
Comme a son habitude il me fit un grand sourire et me répondit
-Ok mon petit Wis' hé hé
Il me tourna le dos et partit en direction du cellier avec entrain contrairement a moi qui le suivait d'un pas monotone.
il était 19h30 au moment où je sortais du « coin miam ». Enfin, je quittais les multiples cartons remplis de nourriture en tout genre, les caisses garni de babioles en plastique et les cagots contenant quelque substance illicites, car oui notre petit commerce représente le point de rendez-vous de tous les dealers du quartier. Je me dirigeais vers le ciber café le plus proches. Celui qui se tenait devant moi à cet instant portait le nom de « Clubby», drôle de mot pour définir ce genre d'endroit mais bon je m'attardais pas plus longtemps et rentrais dans la salle où plusieurs accrocs du net prenaient leur dose quotidienne de t chat, mail, site et autres moyens d'évasion que procurait internet. Je pris un ticket de deux heures à l'accueille et paya la somme convenue pour ensuite partir en direction d'un poste de libre. Je m'asseyais sur la chaise mis a ma disposition et je tapais l'adresse de Dayrock le plus gros réseaux social qui avait détrôné Skyrock celui-ci étant censuré et effacé du net et où on pouvait retrouver tout ces ados pré-pubère exposer leurs lamentable vie à l'aide d'article creux et vide de sens. Je me connectais rapidement sur ma session, car oui j'avais un compte sur un de ces système de rencontre purement virtuelle mais dans le seule but de me procurer le « codex ». Le codex était devenue le seule moyens pour me permettre d'écouter de la véritable musique et pas cette bouillie commercial qui nous vente les mérites de notre cher gouvernement ! Pour ce le procuré il fallait tout d'abord ce connecté a une salle particulière du t chat connue seulement par une dizaine de personne trier sur le volet et ensuite contacté «The Big » un membre de la communauté pour qu'il nous passe une série de mot de passe correspondant à tout un tas de site que je connaissait maintenant par cœur. Il ne me restait plus que quelques minutes de chargement lorsque tout d'un coup l'écran ce mit à grésiller et devenir totalement noir, Je ne compris pas mais je gardais mon calme et appelais le gérant du ciber. J'attendis 10 minutes, personne ne vint j'entrepris donc de me débrouiller seule. J'éteignais l'ordinateur et patientait un instant pour ensuite rallumé cette vieille bécane de 1960. Un Bienvenue bleu s'affichait quand soudain une liste verte fluorescente sur un fond gris défilait a grande vitesse, je me penchait un peu plus sur l'écran...C'est à ce moment là que ma chute vers les abysse impétueux de la mélancolie commençait.

Au cas ou sa^pourrait t'interesser je vais commencer le chapitre 2 Bisous

Pfiou je suis désolée j'ai eu un mal fou à trouver le temps de te lire, j'ai passé mon WE sur 'toshop x)
Mais bon voilà, c'est chose faite :3
Bon déjà avant que j'oublie, ton histoire d'ordi des années 1960...Tu vérifieras parce que je n'en suis pas sûre mais il me semble que les ordis des années 60 avaient la taille d'une salle complète...et s'ils existaient réellement d'ailleurs x) Mais il est aussi possible que je me goure de décennie mdr A vérifier donc =)
Ensuite, toujours tes problèmes d'orthographe mais à la rigueur ça on va passer, ce ne sont que des finitions, si tu veux quand ton premier chapitre sera définitivement fini, je te corrigerais tout ça
A part ça...j'ai adhéré à ton histoire. Tu as mis plus de "punch", on ne s'ennuie pas et surtout, SURTOUT, ton personnage à bien plus de caractère =D L'écriture est plus mûre, j'aime beaucoup ! Le seul truc qui m'a gêné c'est cette phrase "- Ok mon petit Wis' héhé" Le "héhé" est de trop, à ce moment là écris "- Ok mon petit Wis', ricana-t-il", ce sera mieux.
Et puis euh...bin voilà x)
Bravo en tout cas, tu peux attaquer ton deuxième chapitre en toute sérénité

Lol mon premier chapitre est définitivement finis ensuite euh le 1960 c'était juste une expressions xD juste pour souligner le fait qu'il était vraiment vieux! Euh une petite question quand tu dis que j'ai mis du punch que mon personnage a plus de caractère tu compare par rapport au début du chapitre ou autre chose ?
Bon mon deuxième chapitre ou la la j'ai déja du prendre 3 mois a écrire un pauvre truc qui fait office de premier xD donc bon. j'ai quand même essayé dans l'aprem mais cela n'a pas donné grand chose

Je te posterais donc ton premier chapitre corrigé dans la semaine :3 Pour ce qui est de ton personnage je compare par rapport à ce que j'ai lu de toi, ton perso' est bien plus vivant à la fin de ton chapitre, comme s'il se réveillait au fur et à mesure de tes mots et je trouve que ça donne un rythme particulier au texte, un rythme que j'aime beaucoup =)

Lol je trouve sa drole ce que tu dis car enfaite pour moi il y aucune différence et surtout merci pour me corrigé je pense qu'au bout du 5 eme chapitre je commencerais a publier mon histoire !

Bon voilà j'ai corrigé ton premier chapitre, je me suis permise de modifier la ponctuation sur certaines phrases trop longues ou perdant leur sens par manque de virgules Ainsi que des fautes de temps, fait attention de ne pas passer du passé au présent sans aucune raison valable :3
Sinon, petite chose à laquelle je n'avais pas fait attention..."Notre supérette était établie un peu plus loin après une vieille quincaillerie aux vitres cassé et l'intérieur dérobé..." Tu m'explique l'histoire de l'intérieur dérobé ? J'ai pas compris ce que tu avais voulu dire >___<

Spoiler:

Ho la la j'ai du mal avec les temps et la ponctuations mon dieux c'est vraiment décourageant xD. Vue comme sa mon chapitre parait super long ! Euh par contre j'aimerais copieret coller le texte que tu ma rendue corrigé d'ailleur merci beaucoup mais j'arrive pas comment fait ton lorsque c'est en spoiler pour faire clique droit sans que sa disparaisse ?

Sélectionne tout ensuite tu fais Ctrl+v et ensuite tu fais "Coller" normalement sur ton doc =) Mais ton chapitre n'est pas long du tout hein XD Il ne fait que deux pages sur word et avec une écriture assez importante...Avec une écriture plus petite les miens font en général 10 pages >___<

ça marche pas sois je dois tout tout sélectioné ce qui fait beugué open office et j'ai essayé pour que le chapitre ça veut pas et quand j'ai enfin réussi a tout sélectionner dans open office sa me fait une sorte de tableau et sa me coupe au milieu du texte xD roooh j'en ai marre !

« Bonjour chers auditeurs et chères auditrices vous êtes en directe avec nous sur RFM, j'espère... » Le présentateur ne pu finir sa phrase, interrompu par ma main qui venait d'éteindre le radio-réveille. Malheureusement pour moi cela signifiait que je devais me lever et débuter encore et toujours cette même routine. D'un pas las, je me dirigeais vers ma cuisine qui n'était pas plus grande qu'une gazinière accompagnée d'un minuscule plan de travail, pour mettre la cafetière en route. Une fois mon café prêt, je le bu d'une seule traite tout en espérant que mon esprit embrumé par l'heure matinale allait se réveiller...En passant devant le cagibi qui nous servait de salle de bain et de toilette à mon voisin et moi, je pris le temps de m'asperger le visage avec de l'eau qui avait une couleur plus que douteuse et me regardais sur le morceau de verre qui faisait office de miroir. Mes yeux bleus m'examinaient sous toutes les coutures. J'avais les cheveux mi-longs, de couleurs noires, mes lèvres fines traversées d’une balafre sur le coin gauche étaient gercées par le froid et mon corps, plutôt maigre, et habillé d'un simple t-shirt blanc crasseux suivi d'un jogging troué, frissonnait à cause du vent glacial qui provenait de la fenêtre. Cela faisait deux ans que je vivais dans ce taudis aménagé, mais je ne m'en plaignais pas, dans cet endroit des plus sordide j'avais mes habitudes, comparable à un petit vieux de 70 ans. D'ailleurs mon radio-réveille affichait maintenant 7h30, je devais me préparer pour aller au boulot, en deux temps trois mouvements j'avais enfilé un jean informe et un pull mangé par les mites. Je bossais dans une supérette assez sommaire, associé à mon meilleur ami Félix, c'était une des rares personne qui avait l'air à peu près normale, sans compter le fait que c'était un toxicomane endurci, un fou dangereux lors de soirées un peu trop arrosées et un coureur de jupon comme on n’en fait plus actuellement, mais il faut avouer que comme pote fidèle et sincère on ne trouvait pas mieux. Bien sur, quand il était dans ses moments de sobriété absolue, ce qui soit dit en passant était extrêmement rare. Je sortais de chez moi sans oublier de fermer à clés et m'engouffrais dans les rues sombres de la banlieue de Paris. Mon immeuble se trouvait juste en face d'un bar boite de nuit qui portait le nom miteux de « Diams » ce qui faisait un paradoxe entre l'appellation et l'endroit qui était loin de briller comme un diamant. Rien que la façade nous le prouvait, les murs tagués de partout, les ordures qui s'entassaient à côté de l'entrée et les femmes qui se montraient aguicheuses pour vendre leur charme au plus offrant, posté devant le luminaire qui indiquait « boite de nuit ». Notre supérette était établie un peu plus loin après une vieille quincaillerie aux vitres cassé et l'intérieur dérobé... Mon dieu que c'était rassurant ! Arrivé à l'entrée de celle-ci j'aperçus Félix en train de sauter dans tous les recoins du magasin, il avait un tempérament assez excité comparé à moi qui était plutôt calme. Je lui lançais de vive voix
- Hey Félix qu'es que tu as à sauter partout ? Même après un an et demi je n'arrive pas à m'y faire !
L'intéressé se retourna, il avait plus de cernes que d'habitude et je trouvais cela étrange, mais je n'en dis mot lorsqu’il me répondit gaiment
- Laisse tomber Wis' et viens faire l'inventaire avec moi.
Je rentrais plus profondément dans le magasin afin de m'exécuter lorsque Félix se posta devant moi. Je lui jetais un regard soucieux. Ses yeux verts pétillaient, ses cheveux d'un blond platine était bizarrement propres et son haleine ne sentait pas cette habituelle odeur d'alcool, je compris tout de suite ce que cela pouvait dire, Félix avait une nouvelle conquête et était pressé de me faire part de chaque détails ! Chaque fois qu'une jeune femme se faisait piéger par ce don juan c'était pareil, il couchait avec celle-ci, profitait de ce qu'elle pouvait lui offrir et repartait vagabonder. Je vous l'accorde ce n'est pas la culpabilité qui l'étouffe, mais il faut savoir tout ce qu'il a traversé pour le juger, même moi j'en connais juste une partie et ça me suffit pour me dire que c'est un chic type ! Je restai planter là à attendre que mon ami m'annonce la bonne nouvelle du moment ce qu'il fit sans plus tarder après quelques minutes de suspens.
- Hey Wis tu ne devineras jamais ce qui m'est arrivé !
Avant qu'il puisse reprendre je lui coupais la parole pour lui rétorquer d'un ton blasé :
-Hoo si, je sais, tu as encore trouvé une nouvelle demoiselle innocente a berné avec ta bouille d'ange.
Mon ami me jeta un regard noir et riposta d'un ton faussement vexé.
- Je vois que tu as une piètre opinion de moi.
Il marqua une pause et reprit.
-Mais tu as raison elle s'appelle Dawn et je peux te jurer que celle la c'est la meilleure que j'ai pu choper. Ho la la tu ne peux pas savoir la nuit torride que j'ai pu passer !
Dawn...Ce prénom résonnait inlassablement dans mon esprit et réveilla en moi des souvenirs plus que douloureux..Ma sœur me criant de ne pas l'abandonner, de ne pas la laisser seule au milieu de ces bois, et moi qui sans même me retourner me dirigeais dans un monde soit disant meilleur...J'effaçais rapidement cette image de mes pensée et repris ce masque d'impassibilité qui me caractérisait tant. Au premier aperçu Félix n'avais pas remarqué mon moment d'absence et continuait son long monologue au sujet de sa soirée. J'opinais de la tête pour montrer un quelconque intérêt et fini par dire :
- Bon Félix on doit faire l'inventaire !
Comme a son habitude il me fit un grand sourire et me répondit :
-Ok mon petit Wis' hé hé
Il me tourna le dos et partit en direction du cellier avec entrain, contrairement a moi qui le suivait d'un pas monotone.
Il était 19h30 au moment où je sorti du « coin miam ». Enfin, je quittais les multiples cartons remplis de nourriture en tout genre, les caisses garnies de babioles en plastique et les cageots contenant quelques substances illicites, car oui notre petit commerce représentait le point de rendez-vous de tous les dealers du quartier. Je me dirigeais vers le cyber café le plus proche. Celui qui se tenait devant moi à cet instant portait le nom de « Clubby», drôle de mot pour définir ce genre d'endroit mais bon je ne m'attardais pas plus longtemps et entrais dans la salle où plusieurs accrocs du net prenaient leur dose quotidienne de chat, mails, sites et autres moyens d'évasion que procurait internet. Je pris un ticket de deux heures à l'accueil et payais la somme convenue pour ensuite partir en direction d'un poste de libre. Je m'assis sur la chaise mis a ma disposition et tapais l'adresse de Dayrock, le plus gros réseaux social qui avait détrôné Skyrock, celui-ci étant censuré et effacé du net et où on pouvait retrouver tout ces ados pré-pubère exposer leur lamentable vie à l'aide d'articles creux et vide de sens. Je me connectais rapidement sur ma session, car oui j'avais un compte sur un de ces systèmes de rencontres purement virtuelles mais dans le seul but de me procurer le « codex ». Le codex était devenu le seul moyen pour me permettre d'écouter de la véritable musique et pas cette bouillie commercial qui nous vante les mérites de notre cher gouvernement ! Pour se le procurer il fallait tout d'abord se connecter à une salle particulière du chat, connue seulement par une dizaine de personnes triées sur le volet et ensuite contacter «The Big », un membre de la communauté, pour qu'il nous passe une série de mot de passe correspondant à tout un tas de site que je connaissais maintenant par cœur. Il ne me restait plus que quelques minutes de chargement lorsque tout d'un coup l'écran se mit à grésiller et devint totalement noir. Je ne compris pas mais je gardais mon calme et appelais le gérant du cyber. J'attendis 10 minutes, personne ne vint, j'entrepris donc de me débrouiller seul. J'éteignis l'ordinateur et patientai un instant pour ensuite rallumer cette vieille bécane de 1960. Un « Bienvenue » bleu s'afficha quand soudain une liste verte fluorescente sur un fond gris défila à grande vitesse. Je me penchais un peu plus sur l'écran...C'est à ce moment là que ma chute vers les abysses impétueuses de la mélancolie commença.

Coucou voila un petit moment que je n'ai pas donner de nouvelle j'en suis désolé. Je voulais te présenté ma petite progression pour mon chapitre deux. Voila et j'aimerais savoir si tu comprend les émotions que je veux donner a mon persos enfin bref pour voir si je dois pas modifier quelques truc ! Bisous j'espère que pour toi tout vas bien

Début chapitre 2 (peut encore être modifier par la suite)

On pouvait lire en toute lettre « Lewis Hansons résident avenue du général Polior, bâtiment C troisième étage, cinquième porte à droite,date de mort prévue le... » Je ne pouvais pas le croire, mes yeux restait fixé sur l'écran sans plus vraiment lire ce qu'il affichait. Mes mains tremblait sans aucune raisons et des larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Moi qui habituellement ne me laissais jamais aller par mes émotions je pleurait, oui comme un petit enfant sans défense je pleurait à chaude larmes sans pouvoir me contrôler. C'est dans ces moments là qu'on ce rend compte de sa propre solitude...qu'on réalise notre détresse qui rythme notre quotidiens. Je croyais dure comme fer que j'étais devenue indépent vide de tout espoir mais tout n'était qu'illusions. En réalité l'espèce humaine est faible et ne peux ce passer de ce poisons artificiel qui nous aides a avancer pour mieux tomber...Au fond de moi, même si je ne l'admettais pas j'ai toujours souhaiter quitter cet endroit sordide et revenir au doux temps de mon adolescences. Je m'apercevais bien trop tard malheureusement que la vie ne tenait qu'a un fil...Je devrais profiter des dernières années qui me reste mais je n'ai plus la force pour continué ce chemin sinueux...J'ai